G5 : A utiliser pur ou mélangé avec d’autres produits ?

À la lecture du livre de Laure Pouliquen (1), certains consommateurs ont découvert que le DNR était utilisé mélangé avec diverses substances allopathiques ou homéopathiques, spécifiques selon les affections concernées.

Du coup, pensant améliorer l’efficacité du G5, ils mélangent celui-ci avec les produits indiqués par Duffaut dans ses « recettes » de l’époque.
C’est oublier que le DNR est la première génération de silicium organique à usage thérapeutique et le G5 (comme son nom l’indique) la cinquième.

Mélanger le G5 avec une autre substance, quelle qu’elle soit, ne pourra que diminuer son efficacité.

Ainsi, dans son livre, Duffaut (2) écrit-il au sujet du DNR anti-virus : « Un autre type de virus contre lequel je luttai fut la kératite à virus. Je commençai dans ma propre famille. Un jour de décembre, en effet, ma mère souffrit des yeux. Elle alla voir, près de Barsac, un ophtalmologue qui, sans ménagement, lui annonça qu’elle avait une kératite à virus, autrement dit un herpès à l’oeil. Ce spécialiste intelligent prescrivit un antibiotique contre les surinfections. Au bout de deux jours, ma mère s’aperçut qu’un oedème se formait à cause d’une allergie à cet antibiotique de précaution. Par téléphone, elle fit part au spécialiste de ce fait nouveau. Il se contenta de dire que ce n’était rien et qu’il fallait continuer et même doubler le nombre de gouttes. Un ami du bassin d’Arcachon, Loïc Le Ribault, me conseilla d’ajouter au D.N.R. de l’hyposulfite de sodium (3). Il savait que les touristes gourmands, allergiques à des substances alimentaires ou pharmaceutiques, étaient sujets à des chocs anaphylactiques violents en mangeant des crustacés. Il savait également que l’administration d’hyposulfite de magnésium ou de sodium constituait une thérapeutique efficace. Sur ses conseils, je fis donc prendre à ma mère des bains d’yeux d’une solution constituée d’un flacon d’Optrex avec deux cuillères à soupe de D.N.R. à une concentration de un pour mille. Dans l’oeillère, j’ajoutai quelques grains d’hyposulfite de sodium, appelé également thiosulfate de sodium (4).
Je fus amené à vérifier qu’avec cette thérapeutique, les kératites à virus étaient guéries entre douze et trente-six heures. 
»
Autrement dit, en 1983, j’avais découvert que l’association DNR plus hyposulfite de sodium était efficace contre certains virus.
Vingt ans plus tard, il est prouvé que le G5 utilisé pur possède les mêmes qualités, mais agit beaucoup plus efficacement. C’est pourquoi j’ai remplacé le DNR par le G5.

Ce sont quinze ans de recherches qui m’ont conduit à cette décision.

Pour une efficacité optimale du G5, utilisez-le donc systématiquement PUR.

(1) Pour connaître l’histoire vraie du G5, lire le livre de Laure Pouliquen « Le silicium organique de Loïc Le Ribault » (éditions Trédaniel, 2006).
(2) Nobert Duffaut – Les tribulations d’un Découvreur Non Reconnu (à consulter sur ce site)
(3) En 1983 (ND LLR)
(4) Dans le témoignage manuscrit qu’il a rédigé à mon intention sur la naissance du D.N.V., Norbert Duffaut précise : « (…) Monsieur Loïc Le Ribault, qui assista par hasard au retour de ma mère, manifesta un geste humanitaire (comportement inconnu de l’ophtalmologue). Comme elle prenait des bains d’yeux de DNR + Optrex biquotidiens qui étaient sans le moindre effet positif sur la destruction du virus, il conseilla d’ajouter quelques grains d’hyposulfite de sodium. (…) Le lendemain, la rougeur de l’oeil avait disparu. Un autre ophtalmologue moins rustre et plus humain, consulté quarante-huit heures après l’incident rapporté ci-dessus, constata que la kératite à virus avait été guérie. C’est ainsi que grâce à l’association de deux dérivés DNR et hyposulfite de sodium (…) la première victoire rapide et sans récidive sur les virus fut observée (…). » (ND LLR)

Les commentaires sont clos.