Les questions à leur poser

QUESTIONS À POSER AUX PARASITES DU SILICIUM ORGANIQUE

Mis en présence d’une nouvelle marque de silicium organique récemment arrivée sur le marché, vous vous posez logiquement la question suivante : « S’agit-il d’un produit sérieux, de G5 authentique, ou une fois de plus d’une mixture douteuse concoctée par un marchand de silicium ? ».

Maintenant, la réponse est simple : vous consultez le présent site, et vous trouverez à la rubrique « Où se procurer du G5 authentique ? » la réponse à votre question. Le produit qui vous intrigue peut aussi vous être proposé par un revendeur parfaitement honnête. Demandez-lui simplement qui lui fournit son G5, les preuves de la provenance de celui-ci. S’il provient d’un fournisseur figurant sur la liste évoquée plus haut, vous pouvez acheter en toute sécurité.

Dans le cas contraire, vous pouvez vous amuser à plonger dans l’embarras les marchands de silicium dépourvus de scrupules. Voici ci-dessous une liste de questions auxquelles ils seront bien en peine de répondre.

Tout d’abord, souvenez-vous que le premier article sur le silicium organique a été publié dans Sud-Ouest le 7 février 1986, que j’ai tenu la première conférence de presse sur le sujet le 11 février 1986, et que l’article « bombe » est paru le 8 octobre 1995. Invariablement, les escrocs font référence aux travaux de Duffaut, parfois aux miens, et toujours à la collaboration de scientifiques de haut niveau ou de médecins pour la mise au point de leurs mixtures. Si vous voulez embarrasser les marchands du temple, demandez-leur par exemple :

– De produire des documents (publications scientifiques, articles de journaux, témoignages signés) prouvant qu’ils ont effectué des travaux sur le silicium organique avant février 1986.

– La liste de leurs diplômes, avec date et lieu d’obtention (pour vérification).

– S’ils ont suivi des cours d’exoscopie, et, si oui, où, à quelle date et donnés par qui.

– De vous donner les références (nom, diplômes, adresse de travail, spécialité, curriculum vitae) des scientifiques supposés travailler ou avoir travaillé avec eux, ainsi que la liste de leurs publications scientifiques. Sur ce point, ils ne peuvent arguer d’aucun secret.

– De vous donner des preuves matérielles de relations de travail avec moi-même et/ou Norbert Duffaut et/ou Jacques Breton.

– De vous fournir les preuves écrites de témoignages de patients traités avant le 8 octobre 1995 ou, mieux, avant le 7 février 1986.

– De vous expliquer comment ils peuvent fabriquer du silicium organique à des concentrations supérieures à 0,2 %, puisqu’au-delà celui-ci se retransforme en silicium minéral.

– De vous expliquer pourquoi ils mélangent d’autres produits avec le silicium organique, alors que pour avoir un maximum d’efficacité thérapeutique celui-ci doit être utilisé absolument pur.

– De vous expliquer comment Duffaut a pu découvrir l’existence de micro-organismes sur les sables dès 1957, puisque les M.E.B. (microscopes électroniques à balayage) n’ont été mis au point qu’au milieu des années 60. Et, en ce cas, quelles publications scientifiques il a fait sur le sujet.

– De vous indiquer sur quel type de sables sédimentaires ces micro-organismes sont présents. De vous expliquer la présence de ceux-ci dans de tels environnements et de vous citer quelques uns de ceux-ci (définition sédimentaire, pays, altitude, etc.).

– De vous fournir une copie des tests de non-toxicité réalisés sur leurs produits, avec les références du laboratoire ayant effectué les analyses.

– De vous préciser si leurs produits sont fabriqués par eux-mêmes, autrement dit dans leur propre laboratoire, ou par un laboratoire sous-traitant.

Si vous recevez une seule réponse à une de ces questions, faites-le moi savoir : ça me fera sûrement beaucoup rire…

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