L’histoire vraie du G5

Le Silicium Organique de Loïc Le Ribault
L’histoire vraie du G5


(Editions Guy Trédaniel, 2006)

INTRODUCTION de L’OUVRAGE
par Laure Pouliquen

« Depuis quelques années, il ne se passe guère de mois sans qu’apparaissent sur le marché de nouveaux produits à base de silicium organique, toujourslement présentés comme « compléments alimentaires », « cosmétiques » ou « produits de confort ».
Pourtant, l’étude des documentations fournies par les fabricants révèle généralement l’existence de revendications thérapeutiques déguisées ou font référence à des articles scientifiques prouvant l’utilité du silicium organique dans le traitement de diverses maladies.

Nombre de nos correspondants nous ont demandé quelle était l’histoire vraie du silicium organique, preuves à l’appui.

Au cours de l’enquête que nous avons menée, nous avons lu ou entendu beaucoup de mensonges et de contrevérités, constaté que beaucoup de poulets se paraient des plumes du paon, que les découvertes des uns étaient attribuées aux autres, qu’apparaissaient des « chercheurs » qui n’existent pas, que des vérités étaient occultées, bref, que le silicium organique semblait être devenu un colossal enjeu financier pour des applications sans intérêt bien éloignées des espoirs qu’il apporte en médecine. (…)

Nous avons pu vérifier que le silicium à usage thérapeutique est né et s’est développé grâce au travail de trois chercheurs de réputation internationale, et à eux seuls : Norbert Duffaut, inventeur du silicium organique de synthèse, Jacques Breton, inventeur de l’ionocinèse contrôlée, et Loïc Le Ribault, inventeur du silicium buvable, qui s’est en outre battu pour que le produit soit connu du grand public.

Nous avons découvert que les preuves scientifiques officielles de l’efficacité thérapeutique du silicium organique abondaient depuis longtemps, qu’il n’en avait jamais été tenu compte par les autorités médicales supposées responsables, que non seulement les inventeurs n’avaient pas été aidés par ces dernières (dont c’était pourtant – et c’est toujours – le devoir), mais que depuis cinquante ans les dites autorités font tout pour étouffer cette découverte fondamentale.

Et nous nous sommes posé la question de savoir comment un tel scandale avait été rendu possible. »

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