Les parasites du G5

LE BÊTISIER DES PARASITES DU SILICIUM ORGANIQUE

Il ne se passe guère une semaine sans qu’apparaisse sur le marché une nouvelle marque ou une nouvelle « variante » de silicium organique. Ce qui serait réjouissant si les promoteurs de ces produits avaient consacré leurs efforts (et beaucoup d’argent…) à mettre au point de nouveaux produits, de plus en plus efficaces, pour le plus grand bien des gens qui souffrent. Il n’en est rien : le but des marchands de silicium organique est purement mercantile. Les « innovations » qui déferlent à jet continu portent sur des nouveaux noms, des rajouts d’ingrédients plus ou moins inquiétants, et les publicités sont basées sur des mensonges éhontés et des contre-vérités scientifiques flagrantes où les marchands font intervenir de faux spécialistes, des professeurs d’opérette, exhument des découvertes obsolètes et plagient sans vergogne des documents sérieux anonymisés. Le résultat le plus clair de ces manoeuvres malhonnêtes est que les consommateurs, noyés de fausses informations toutes plus délirantes les unes que les autres, se trouvent complètement perdus et ne savent vers quel produit orienter leur choix. Pourtant, les publicités diffusées par les marchands de silicium organique atteignent parfois un tel ridicule ou sombrent dans une si effroyable médiocrité qu’on peut presque y lire entre les lignes : « Danger ! Escroquerie ! ». Des courriers adressés par les marchands de silicium à des consommateurs qui leur posent des questions, ou des conversations téléphoniques, ne manquent pas non plus de sel. A titre de démonstration, voici donc le Bêtisier des parasites du silicium organique. Une plongée dans un panier de crabes répugnant… mais parfois involontairement comique. Ce Bêtisier, avec votre aide, sera bien sûr régulièrement complété.

CHRISTIAN COTTEN : Gourou autoproclamé du G5

Je croyais que Christian Cotten était un ami : n’avait-il pas rédigé la préface de la première édition de mon livre ? Aussi, quand à la fin 2005, il me demanda l’autorisation d’utiliser mon nom pour diffuser en France du G5 produit en Espagne, est-ce avec plaisir que j’acceptai. Ce fut une grosse erreur : dès le début, Christian Cotten se révéla être un redoutable graphomane, inondant de missives comminatoires la société espagnole et moi-même, mégotant sur les prix et critiquant systématiquement le travail de l’équipe. Enfin, il m’informa de sa « décision de mener désormais la barque du G5 », qu’il considérait « partir à la dérive ». Cotten s’autoproclamait tout simplement Grand Gourou du G5 ! Je considérai alors que les limites étaient franchies et priai Cotten de retourner à son cher parti politique en oubliant définitivement le G5. C’était mal le connaître : Cotten est têtu. Mais aussi malhonnête. D’abord, il m’emprunta 2.500 € pour régler son loyer. Puis il s’en fut. Mais pas les mains vides : après avoir volé le fichier des consommateurs de G5 que j’avais confié à l’Association Internationale des Amis de Loïc Le Ribault ! Ensuite, tout simplement, il s’associa avec Luc Verardo, dont il savait pourtant pertinemment qu’il me spoliait depuis deux ans. Dans la foulée, Christian Cotten ouvrit un site internet sur lequel il reproduisit froidement tout le contenu de ma plaquette sur l’historique et les applications du G5. Evidemment sans la moindre autorisation de ma part. Mais ces ignominies ne suffisaient pas encore à Cotten, il lui fallait aussi me salir : aux consommateurs de G5 scandalisés par son attitude et qui protestaient, il adressa des messages dont voici quelques extraits (c’est moi qui surligne certains passages révélateurs) : « LLR ment à tout le monde depuis des mois, c’est sa pathologie à lui, ce qui n’enlève rien à son intelligence. (…) Le G5 n’est pas à LLR : LLR a participé comme beaucoup d’autres scientifiques à la mise au point et ensuite, il a su en faire une excellente promotion. Mais la production du G5 ne lui appartient en aucune façon. (…) Il y a eu beaucoup de mensonges et juste, maintenant, c’est fini, c’est tout. » Oui, vous avez bien lu : je suis un menteur pathologique, le G5 ne m’appartient nullement puisque je ne suis qu’un de ses multiples co-inventeurs, mon rôle s’est limité à celui d’un excellent publiciste, et le Grand Gourou Cotten a décidé que la plaisanterie devait cesser. La folie (car c’est bien de cela qu’il s’agit) du pauvre homme s’aggrava ensuite jour après jour, puisque le 5 janvier 2006 il osait écrire : « Le G5 a besoin de paix : aucune tentative de médiation ou négociation n’a abouti depuis des mois, pour apaiser ce conflit, qui nuit à tout le monde. J’ai jugé, en conscience, qu’il était de mon devoir d’agir pour provoquer les nécessaires changements vers l’apaisement ; c’est la raison pour laquelle je me suis rapproché de Luc Vérardo, avant d’ouvrir le site www.silicium-organique.net. Tout bon thérapeute systémique sait bien combien il est utile de savoir faire alliance avec chaque membre d’un système en souffrance et, alternativement, trahir chacun à d’autres moments ou endroits, pour faire progresser tout le monde vers la paix et l’harmonie dans les relations. Il est très clair à ce jour que c’est la (sic) laboratoire d’Irlande qui satisfait le plus clairement mes valeurs personnelles, en matière d’éthique de l’entreprise et en tant que thérapeute : je connais trop l’importance des résonances énergétiques pour faire un autre choix. Le G5 produit en Irlande l’est, à ce jour, dans la paix et l’amour.» Etrange éthique que celle d’un individu qui entre en quelque sorte chez moi par effraction, décide de régenter ma vie et mes affaires, prétend parler en mon nom, décide d’exploiter mon invention, s’adresse à mes correspondants grâce à mon fichier (volé…), utilise sur son site mes documents et enfin s’arroge le droit de me donner des leçons ! Et tout cela, comme il ose l’avouer, à grands coups de trahisons… Cotten, dans une série de messages délirants, tenta bien sûr de justifier l’inexcusable. Jusqu’à avouer enfin la vérité à l’un de mes correspondants le 16 février 2006 à 9h 28 mn : « (…) Le fait que je m’occupe du G5 repose sur plusieurs choses : un historique et un contexte relationnel, la nécessité pour moi de gagner convenablement de quoi vivre et continuer mon travail politique (…). » D’où le commentaire de Pierre Lance : « Et bien voilà tout le noeud de l’affaire ! Il n’y a plus qu’à ajouter la formule jésuitique « La fin justifie les moyens » et tout le comportement de M. Christian Cotten devient limpide, de son propre aveu. »

COTTEN EXPERTISÉ

Emilia Masson, scientifique de renom, notamment connue pour ses travaux sur la civilisation des Hittites et pour ses découvertes sur le site protohistorique français de la Vallée des Merveilles (Mont Bego), est aussi réputée pour sa probité intellectuelle et son franc-parler parfois décapant. Le 4 avril 2006, elle m’a adressé le message suivant : « Cher Loïc, Seriez-vous prêt à m’accorder la faveur que de toute évidence Christian Cotten semble me refuser ? Comme nous en avions convenu, j’ai envoyé à Cotten la série de réflexions, ci-jointe, que m’inspirent certains de ses écrits. Ceci afin qu’il les diffuse sur son site car il ne s’agit point de polémique. Son silence me laissant sur une impression négative, je me tourne vers vous : si vous jugez les lignes qui suivent dignes d’intérêt et dignes d’être rendues publiques, je vous saurais gré de les diffuser sur votre propre site. En vous remerciant par avance et avec mes salutations amicales. Emilia Masson » Voici donc ci-dessous le texte intégral qu’Emilia Masson a adressé à Cotten à la mi-mars 2006 : « Monsieur, Suite à notre conversation téléphonique du 3 mars dernier, je vous envoie, comme annoncé, les réflexions suivantes en vous remerciant par avance de bien vouloir les publier sur votre site. Ceci dans la mesure où il ne s’agit pas de « polémique » qu’à juste titre vous cherchez à éviter mais d’une analyse de certains de vos écrits. Analyse faite par la scientifique que je suis et qui a, me semble-t-il, une longue expérience des rédactions, qu’il s’agisse de leur compositions ou de leurs interprétations. Bref, une habituée qui, parallèlement à la lecture d’un texte, capte son infra-discours, saisit ses non-dits entre les lignes et parfois décode ses sous-entendus. Vos pamphlets politiques, la série du « petit Nicolas » en particulier, m’avaient déjà laissée sur l’impression que vous vous livrez au jeu d’un Don Quichotte de la société politique française. Un Don Quichotte qui dévoile, bien involontairement, son souci premier : se prouver à lui-même et ensuite à d’autres. Ceci dans la mesure où il doit se sentir au fond de lui-même comme un raté. Vos écrits concernant le G 5 et sa diffusion font preuve d’un état d’esprit analogue mais, me semble-t-il, encore plus condamnable. Car, à tort ou à raison, votre lecteur ou lectrice est gagné(e) par l’impression que l’appât de gain n’est pas étranger à vos motivations ni à vos agissements. De manière plutôt surprenante pour un psychologue, voire psychanalyste, vous vous improvisez spécialiste en matière du G5 et proférez ainsi des avis avec une autorité qui dépasserait sans doute même le découvreur de ce produit si bénéfique pour l’homme. Après avoir formulé vos jugements de « spécialiste » au sujet de cette « potion magique » en oubliant qu’il existe aussi un gel  « magique » vous passez aux arbitrages. Ce faisant, vous frisez, je le crains, un culot d’acier ! Moi, je, Moi, je et Moi, je… Après avoir chanté des louanges de Loïc Le Ribault, inventeur du G5, vous le passez au crible sous prétexte de « rester cohérent avec vos valeurs profondes ». Vous vous érigez en « médiateur  ou négociateur » estimant qu’il était « de votre devoir » d’intervenir dans les affaires qui pourtant ne vous regardent d’aucune manière. Continuant crescendo, vous condamnez les nouvelles créations de LLR, par définition seul capable de contrôler la bonne fabrication du G5, pour affirmer que « c’est la (sic !) laboratoire d’Irlande qui satisfait le plus clairement vos valeurs personnelles » ! Ici, votre lecteur reste sur sa faim : on aimerait connaître la nature des dites valeurs ! On sait néanmoins que LLR s’est retiré de ce laboratoire et qu’ il ne contrôle plus sa bonne marche. Mais qu’importe, du moment où vous avez la certitude que c’est le meilleur. Toutes ces affirmations ad hoc sont, je le crains, à l’image du besoin de se mettre en avant qu’éprouve un homme se sentant échoué dans la marginalité… Quant au soutien – démesuré au point d’atteindre le ridicule – que vous portez au laboratoire d’Irlande et à Luc Vérardo, ancien associé de LLR, il laisse votre lecteur sur l’impression fâcheuse que le dit ex-associé était prêt à payer cher un porte-parole. Au cas où vous ne seriez pas d’accord de publier les réflexion ci-dessus sur votre site, réflexions formulées avec la prudence qui se doit car elles n’engagent que ma personne, je vous prie de me le faire savoir par écrit. Aussi, je chercherai une autre tribune. Je vous prie de trouver ici mes salutations les meilleures. Signé : Emilia Masson » Je ne suis guère étonné, moi, que Christian Cotten refuse de publier ce message d’Emilia Masson sur son site…

Toujours plus de parasites …

Remise à jour du 12/03/2007

Les parasites du G5 sont malheureusement de plus en plus nombreux. En témoigne notre section sur ces parasites qui s’agrandit encore un peu aujourd’hui : Deux nouveaux articles ont été publiés aujourd’hui dans le bétisier des parasites du G5. Ils sont intitulés « UN MARCHAND EXCÉDÉ » et « DEXSIL Un nid de silicium organique ! » Les articles « ACTILANOL« , « COSMETIQUE : des découvertes révolutionnaires« , « DYNASIL ou Janet contre Janet » et « SANTE NATURE DIFFUSION ou Valette et ses oubliettes » ont été complétés. Toujours dans cette section, la rubrique des « Archives » a fait son apparition. Vous y retrouverez tous les articles publiés sur les parasites du G5. Pour vous permettre d’y voir plus clair, un petit lexique sur ces parasites et leurs acteurs a été ajouté. Enfin, une question a été ajoutée dans la section « Questions fréquentes« .

LEXIQUE DES PARASITES DU G5

Il n’est pas toujours facile de « situer » les parasites du G5, dont la plupart changent de nom et d’adresse comme de chemise, modifient sans cesse les appellations de leurs mixtures et font apparaître comme par miracle des « spécialistes » ou des « écrivains » qui n’existent pas pour vanter leurs siliciums révolutionnaires. Ce petit lexique devrait vous permettre d’y voir plus clair : au regard de chaque nom figure celui de la rubrique du Bêtisier où est mentionnée la personne (ou l’objet) en question.Acide sulfurique : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 ACTILANOL ARTROSILIUM ASSOUN Christian (« Professeur ») : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 Biotherm : Cosmétiques BONCOEUR Dominique : Artrosilium BRETON Jacques (Professeur) : Dynasil Christian COTTEN CODIPHARM COSMETIQUES DEWALT Raymond : Artrosilium DEXSIL DIETI-NATURE Du Si-GLYCAN-3 au Si-GLYCAN-5 Dynagell Santé Nature Diffusion Dynamag : Santé Nature Diffusion et Dynasil DYNASIL EDCAE : Christian COTTEN Elasti Sil : Dexsil ELLIS John : Artrosilium Européenne de Distribution de Compléments Alimentaires et d’Ecoproduits : Christian COTTEN Exymol : Codipharm Glucosamine : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 Ionocinèse : Dynasil JANET Jacques (docteur) : Dynasil JARRET Jacques (docteur) : Artrosilium KAREMBEU Adriana : Cosmétiques LAIM : Silumine LLR-G5 Ltd (Irlande) Mieux Vivre la Vie (Magazine) : Dynasil Ours au faucon blanc : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 Photographie falsifiée : Actilanol Power Sil : Dexsil ROBINSON Anton (« docteur ») : Artrosilium ROUBIER Christian : Actilanol Salomon (sceau de) : Santé Nature Diffusion SANTE NATURE DIFFUSION Signature falsifiée : Actilanol Sil26 : Dexsil Silcare : Dexsil Silicium organique colloïdal : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 SILUMINE SOKOLOVITCH Claude : Codipharm THIMOLEON Jean-Claude : Du Si-Glycan-3 au Si-Glycan-5 VALETTE Robert : Santé Nature Diffusion VERARDO Luc : LLR-G5 Ltd Vitasil : Dexsil, Dynasil Vita Sil Omega 3-6-9 : Dexsil VitaSil Phyto : Dexsil Vichy : Cosmétiques Vichy au Silicium-R : Cosmétiques VOISIN Catherine : Codipharm VOISIN Philippe : Codipharm VS2 : Codipharm

QUESTIONS À POSER AUX PARASITES DU SILICIUM ORGANIQUE

Mis en présence d’une nouvelle marque de silicium organique récemment arrivée sur le marché, vous vous posez logiquement la question suivante : « S’agit-il d’un produit sérieux, de G5 authentique, ou une fois de plus d’une mixture douteuse concoctée par un marchand de silicium ? ». Maintenant, la réponse est simple : vous consultez le présent site, et vous trouverez à la rubrique « Où se procurer du G5 authentique ? » la réponse à votre question. Le produit qui vous intrigue peut aussi vous être proposé par un revendeur parfaitement honnête. Demandez-lui simplement qui lui fournit son G5, les preuves de la provenance de celui-ci. S’il provient d’un fournisseur figurant sur la liste évoquée plus haut, vous pouvez acheter en toute sécurité. Dans le cas contraire, vous pouvez vous amuser à plonger dans l’embarras les marchands de silicium dépourvus de scrupules. Voici ci-dessous une liste de questions auxquelles ils seront bien en peine de répondre. Tout d’abord, souvenez-vous que le premier article sur le silicium organique a été publié dans Sud-Ouest le 7 février 1986, que j’ai tenu la première conférence de presse sur le sujet le 11 février 1986, et que l’article « bombe » est paru le 8 octobre 1995. Invariablement, les escrocs font référence aux travaux de Duffaut, parfois aux miens, et toujours à la collaboration de scientifiques de haut niveau ou de médecins pour la mise au point de leurs mixtures. Si vous voulez embarrasser les marchands du temple, demandez-leur par exemple : – De produire des documents (publications scientifiques, articles de journaux, témoignages signés) prouvant qu’ils ont effectué des travaux sur le silicium organique avant février 1986. – La liste de leurs diplômes, avec date et lieu d’obtention (pour vérification). – S’ils ont suivi des cours d’exoscopie, et, si oui, où, à quelle date et donnés par qui. – De vous donner les références (nom, diplômes, adresse de travail, spécialité, curriculum vitae) des scientifiques supposés travailler ou avoir travaillé avec eux, ainsi que la liste de leurs publications scientifiques. Sur ce point, ils ne peuvent arguer d’aucun secret. – De vous donner des preuves matérielles de relations de travail avec moi-même et/ou Norbert Duffaut et/ou Jacques Breton. – De vous fournir les preuves écrites de témoignages de patients traités avant le 8 octobre 1995 ou, mieux, avant le 7 février 1986. – De vous expliquer comment ils peuvent fabriquer du silicium organique à des concentrations supérieures à 0,2 %, puisqu’au-delà celui-ci se retransforme en silicium minéral. – De vous expliquer pourquoi ils mélangent d’autres produits avec le silicium organique, alors que pour avoir un maximum d’efficacité thérapeutique celui-ci doit être utilisé absolument pur. – De vous expliquer comment Duffaut a pu découvrir l’existence de micro-organismes sur les sables dès 1957, puisque les M.E.B. (microscopes électroniques à balayage) n’ont été mis au point qu’au milieu des années 60. Et, en ce cas, quelles publications scientifiques il a fait sur le sujet. – De vous indiquer sur quel type de sables sédimentaires ces micro-organismes sont présents. De vous expliquer la présence de ceux-ci dans de tels environnements et de vous citer quelques uns de ceux-ci (définition sédimentaire, pays, altitude, etc.). – De vous fournir une copie des tests de non-toxicité réalisés sur leurs produits, avec les références du laboratoire ayant effectué les analyses. – De vous préciser si leurs produits sont fabriqués par eux-mêmes, autrement dit dans leur propre laboratoire, ou par un laboratoire sous-traitant. Si vous recevez une seule réponse à une de ces questions, faites-le moi savoir : ça me fera sûrement beaucoup rire…

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